[Recherche] Je ne te connais pas, mais...

Cours et ne t'arrêtes pas
Cours et ne regarde pas derrière
Cours...Ritsu...cours

C'était le matin, un simple matin parmis tant d'autres. Un jour semblant bien ordinaire, mais il ne l'était pas. Déjà depuis quelques heures deux jeunes pensionnaires avaient quitté précipitament leur dortoir. Les autrs avaient continuer à dormir calmement. Aucun n'avait remarqué les différences entre ce matin et les précédents. Or, la matin se pointa et chacun des jeunes aqualiens se réveillèrent. Sur leur table de chevet était posé une lettre qui n'annoncait rien de bon. Subaru Sumeragi, jeune pensionnaire, avait disparu. Pire; il s'était fait enlevé!
Les cris et les larmes s'achenèrent pour formé une foule de jeunes adolescentes affolés. Cependant, la plupart avaient pris peur et avait refuser de partir à la recherche du pauvre disparu. La peur empêchaient d'agir, ils restèrent immobiles. Ces réactions étaient compréhensible, mais pas moins égoïste. Tous connaissait le jeune Sumeragi, ou presque. Il était réputé pour sa gentillesse peu commune!

«Comment peuvent-ils ignorer toute la souffrance qui a lieu en ce moment?!»

Ritsu, jeune pensionnaire, avait de son côté commencé les recherches dès son réveil. Le cri d'un pensionnaire avait résonné dans ses oreilles félines qui possèdaient une ouïe peu commune. Juste en entendant cela, elle avait su que quelque chose n'allait pas. Il n'était plus difficile pour la jeune féline d'identifier de la souffrance dans une voix. Elle se redressa rapidement sur son lit et prit le temps de frotter ses yeux comme un enfant avant de se rendre en moins d'une demi-seconde à la table de chevet. La lettre était là, son blanc beige contrastait avec le brun foncé du meuble.
Il lui avait fallu très peu de temps pour ouvrir la lettre, mais lire était autre chose. Elle n'avait jamais jugé nécéssaire d'apprende la lecture. Il n'y avait irne de palpitant à cela. Si son cerveau n'avait pas été si dévelloper, elle n'aurait sans doute pas réussit à déchifrer le message transmi à travers ces mots. Le poing de la jeune fille s'était abbatu sur le table et la détermination brillait dans son regard vert.
«Subaru, je ne te connais pas, mais je sais que chaque être humain mérite la vie! Je vais te sauver»
avait-elle crier avant de s'élancer dans le pensionnat pour trouver le jeune garçon.

Depuis deux heures déjà elle allait d'un endroit à un autre à une vitesse folle, sans vraiment prendre la peine d'appronfondir ses recherches. Elle se fiait à ses sens surdéveloppés pour trouver le prénommé Subaru. Elle avait toujours cette lueur de détemination. Elle criait son nom à tue-tête en parcourrant de long en large les couloirs. Elle interrogeait tout les gens qu'elle croisaient sans répit. Elle ne savait même pas à quoi ressemble le sumeragi, mais elle se disait que si elle le voyait, elle le sentirait que c'était celui qu'elle cherchait.

Brusquement, la gamine s'arrêta au centre d'un couloir sombre. C'était le couloir que la lave avait recouvert il y a peu de temps. Le magma avait coulé en quelque heures et il était à présent aussi dur que la roche. Pourtant, il y avait quelque chose d'étrange ici. L'enfant avait un fort instinc et elle sentait le danger. Elle avait envie de fuir, mais son incorrigible curiosité l'en empêcha. Plus lentement, elle se risqua à s'y aventurer...

Perdue, voila le mot qui décrivait le mieu la situation d'Hideko en ce moment. Elle avait passée la nuit à jouer du violon dans le parc, là où l'écho était le meilleur, pour ensuite revenir dans le pensionnat. Seulement, elle avait découvert un nouvel escalier qu'elle pensait être un raccourci pour les dortoirs. Mais il ce révéla être un passage direct pour le couloir auparavant remplit de lave.

Rebroussé chemin aurait été l'action logique à faire. Cependant, une fille qui courait en hurlant attira l'attention de la violoniste. Elle reconnut alors la jeune fille surecxitée qui l'avait tant énervée au château étrange. Voyant qu'elle avait l'air un peu perdue, Hideko l'appela, histoire de faire sa bonne action du mois.

-Hey! Qu'est-ce que tu fais ici? Tu t'es perdue?-

Les oreilles de Ritsu pivotèrent vers des bruits de pas, elle se retourna brusquement en soutant pour voir à qui elle avait affaire. Sa queue battait l'air en signe d'avertissement. Or, dès qu'elle aperçu Hideko, la jeune violoniste, toute attitude defensive avait disparu aussi rapidement qu'elle était aparue. Là voilà maintenant qui sautillait sur place en fesant de grands signes de bras pour qu'elle la remarque.
Cette dernière finit par parler. Ses paroles étaient plutôt gentille, mais on détail accrocha la gamine.
Perdue? Elle? Jamais! Elle se renfrogna et croisa des bras tout en se retournant sur le côté pour ne plus regarder Hideko. Avec un moue boudeuse, la filette répliqua fortement.
«Quoi?! Tu crois vraiment que je me perds si facilement? Je ne suis pas une imbécile, non mais!»
Elle tappa ensuite du pied pour évacuer son énervement et on surplus d'énergie. Rester immobile plus de quelques minutes était une véritable torture pour la gamine. Ne pouvoir bouger la rendait folle, être prisonnière la rendait profondément violente. Veut mieux ne pas la voir lorsqu'elle est priver de liberté

Hideko fronça les sourcils devant la réaction de la gamine. C'était si facile de la vexer? Heureusement qu'elle n'avait pas vécue les compétition internationale. Là bas, ce genre de phrases étaient gentille et sans malice aucune comparées au autres qu'on pouvait entendre. La violoniste replaça son violon sur son épaule et fixa Ritsu avec arrogance.

-Alors qu'est-ce que tu fais ici? C'est pas comme si il y avait quelque chose d'intéressant.-

Elle se tourna et examina le mur près d'elle. La lave n'avaitpas coulé du mur, c'était comme si elle était simplement apparue. Dans un pensionnat magique ce n'était pas si exceptionnel, mais quand même. De la lave sous l'eau, on ne voit pas ça tout les jours. De plus, la pierre n'était plus chaude du tout. En fait, c'était le contraire. Tout était glacial.

Ritsu fronca les sourcils et fixa durement Hideko. Ce n'était pas évidant? Elle n'allait pas répondre à une question aussi idiote! Que pourrait-elle faire à crier le nom de Subaru et à courir comme ça? Elle ne voulait pas répondre, mais il lui était impossible de se taire.

«Et bien je cherche Subaru! Tu as pas vu la lettre?!»

Sa réponse était brusquement et lancé impusivement. Pour la gamine, c'était bien évidant que tout ceux qui avait lu cette lettre devait être en ce moment à la recherche du Sumeragi.

[mon dieu, nos deux persos froncent des sourcils. C'est genre la première chose qu'elles font dans le poste.]

Une lettre? Hideko n'avait rien remarqué quand elle était entré dans le pensionnat. Bien sur il y avait quelques personnes qui chuchotaient mais elle ne s'en était pas soucier. Ainsi donc un pensionnaire avait disparut. En fait, l'information passa six pieds au dessus de la tête de la violoniste. Des gens disparaissaient tout les jours. Un de plus ou de moins... Où était le problème?

-Je n'ai pas vue la moindre lettre. Pourquoi tu le cherche? Tu le connait?-

C'en était trop! Cette fille était donc insensible au sort d'autrui?
Sa réaction désinvolte dérangeant grandement la gamine. Un feulement résonna dans l'ensemble du couloir, la queue de Ritsu battait furieusement l'air et ses oreilles de plaquèrent sur son crâne. L'heure n'était pas à la plaisanterie!

«Non je ne le connais pas, mais je vais le retrouver! Si tu ne veux pas m'aider, tasse-toi!»

Lorsque Ritsu fini sa phrase, un étrange bruit provenant de derrière elle se fit entendre. La jeune fille-chat se retourna alors, au aguet. Cela n'était pas naturel. Le bruit se répétait, mais il lui était impossible de l'identifier.

Élève Nombre de messages : 23 Date d'inscription : 19/01/2010

Une horloge et son son qui se répète à l'infini, très net, très clair. Comme le battement d'un coeur lent qui s'estompe et pleure avant de mourir. Un bruit de métal. Peut-être un bruit de fougue. Une silhouette sombre passa à la fenêtre, s'attarda trop peu pour que cela soit vu et s'élança en direction des airs. Le vent sifflait, mais à l'intérieur, l'enfer grondait son feu le plus terrible. Et l'hiver, un froid à rendre sénile. Dans un alignement précis de rouages, le fer se mit à parler et quand le grand cadran se mit à parler, ce fut pour répéter trois notes plus ou moins distinctes.

«Subaru.»

Et comme un signe du faux de la violoniste, l'alliage qui retenait l'une des lanternes du vieux château s'écroula à ses côtés. Un fracas de verre fut un instant audible et il disparut avec la nuit. Un esprit enlevé, qui se brise, ne revient jamais.

[Un inconnu O_O *fuit*]

Un bruit affreux, comme un choc métallique, répété à l'infini. Voilà ce qu'Hideko entendait, et ça lui cassait les oreilles.

Un mot cohérent sortit de la cacophonie.

Su...ba...ru.

Subaru, le nom que Ritsu avait auparavant cité.

Cette petite était sans doute sur la bonne voie, une voie remplie de danger. Et ce danger commençais... maintenant.

Un mouvement, rapide.

Hideko fit un pas sur le coté, négligeant, comme si l'attaque était pitoyable.

Mais elle ne l'était pas.

Une lampe qui tombe, des éclat de verres qui s'éparpillent.

Elle se tourna nonchalamment., comptant sur la protection de son étuit à violon.

Dans sa tête, les pensées allaient à vive allure.

Qui pouvait-être assez puissant pour faire tomber quelque chose d'attacher au mur en un instant et sans qu'on puisse repérer la personne?

Qui pouvait leurs vouloir du mal? À deux jeunes filles innocentes?

Qui était derrière tout ce qui se tramait dans le château?

Qui...

-Pfff, on dirait que je vais être forcée de t'aider. Alors il est où le type que tu cherche? J'ai pas que ça a faire de ma journée. -
En une fraction de secondes, elle s'était remit des événement.

Retrouvant son air hautain et supérieur. Méprisant.

La violoniste croisa les bras, jetant un regard de dédain à Ritsu.

Le cerveau surdévelopper de la jeune fille lui permi de capter tout les mouvements de la personne qui avait passé près de la fenêtre. Elle avait vu la lampe tomber avant même qu'elle atteigne le sol. Cela lui permi de se tasser à temps pour ne pas recevoir sur la jambe de nombreuses pièces de verre. Il se passait quelque chose d'anormal ici. Quelque chose d'inquiêtant pour la plupart, mais Ritsu trouva la situation intriquante. Tout ce qui chatouillait son incontrôlable curiosité trounait vers un jeu. Celle-ci se mit à sautiller sur place, les oreilles bien dresser.
«Qu'es-ce que ça veut dire tout cela?»

-Comment tu veux que je sache? -

La réponse, sèche, était sortie de la bouche d'Hideko sans qu'elle ne s'en rende compte.

Elle alla examiner la lampe brisée. Le fer était coupé, nettement.

pourtant, aucun outil ne pouvait couper aussi vite.

Un pouvoir extrêmement puissant était la source de cet... incident.

On cherchait à les faire partir.

Donc elles devaient continuer.

-Bon, maintenant on doit chercher ton gars disparut. Comme ça on pourra aussi trouver celui qui a fait ça.-

Oreilles bien droites, queue bien haute, la petite Ritsu commença a trouvé cela vraiment amusant. C'était de mieux en mieux pour la fille-chat. Ils allaient toutes les deux à la recherche du Sumeragi disaru et cela la gonflait d'enthousiame. Elle jeta un regard à la lampe brisé et enregistra les nombreuses informations dans son cerveau surpuissant. Ensuite, elle se tourna vers la fille au violon et s'exclama:
«D'acooord! Il n'est pas dans les couloirs de droites par contre, j'ai tout vérifié!»

Hideko jetta un regard nonchalant aux couloirs de droite.

Il y en avait beaucoup, vraiment beaucoup. Comment cette fille avait-elle put tout vérifier en une matinée?

Sans doute de la même façon qu'elle avait évité la lampe. Extrêmement rapidement.

Elle passa en revue ses pouvoirs, pour voir comment elle pourrait l'aider.

Car cette fille ne voulait sans doute pas d'un poid.

La jeune violoniste soupira et sortit un écouteur sans fils de son étuit à violon qu'elle tendit à Ritsu.

-Bon, on dirait que j'ai pas le choix. Mets ça dans une de tes oreilles. Je vais te faire aller encore plus vite.-

Sur ce, elle sortit son violon et commença à jouer. Une douce mélodie sortir de l'instrument de bois, une de ses compositions.

Elle l'avait tester sur son frère. Cette musique réduisait la graviter de moitier. Rendant donc tout ceux qui l'entendaient, deux fois plus rapide.

-Cours-

Sans attendre, Ritsu enfila l'étrange et écouteur en se demandant comment une si petite chose pourrait améliorer son pouvoir qui était déjà relativement puissant. Elle était à vrai dire assez sceptique. Pourtant, dès qu'elle commença sa course, elle sentit la différence dans tout ses membres. Même son coeur battait plus rapidement sans pourtant ressentir un malaise. Heureuse de cette amélioration considérable, Ritsu continua de fouiller les couloirs. Elles rentraient dans chaque pièce et la retournait complètement pour en resortir les mains vides.

«Il n'y a rien i...»

Elle ne termina pas sa phrase, un objet avait attirer son attention. C'est plus lentement qu'elle pénétra dans un pièce.

Elle la regarda filer à une vitesse ahurissante.

ses doigts couraient sur son violon sans que son attention n'en soit tout à fait prise pour autant.

Elle vit Ritsu qui ralentissait, perplexe, elle la rejoignit rapidement, remarquand au passage plusieurs salle complètement ravagées par la jeune fille-chat. Dans la dernière salle, il y avait un aquarium assez grand, mais sans un seul poisson.

Hideko s'approcha lentement et observa l'objet assez incongru puisqu'elles étaient au beau millieu de l'océan.

-C'est la première fois que je vois un aquarium dans le pensionnat... et sans poisson en plus.-

Ritsu grimaça et recula de quelques pas à l'arrivé de Hideko. Elle n'aimait pas l'eau, tout comme ses cousins félins, et voir un aquarium assez grand pour qu'un humain puisse y pénétrer la dégoutait. Qui irait là-dedans? D'ailleurs, il y avait un couvercle sur le dessus comme les aquariums ordinaires. Es-ce pour emprisoner quelqu'un? Juste cette pensée la répugna et elle tira la langue à l'engin. Alors, une pensée lui traversa l'esprit.
«Crois-tu que Subaru était la dedans?»

Élève Nombre de messages : 23 Date d'inscription : 19/01/2010

Tu les regardais entrer dans ta pièce, un petit sourire naquit sur tes lèvres.
Voilà tes premières visiteuses depuis si longtemps. Avaient-elles noter que cette pièce était le "centre" ?
Ou alors, il était possible qu'elles soie à la recherche de...
Lui.

L'eau jaillit, aussi souple et mince qu'une couleuvre mais d'un fluidité qui lui était propre.
Lentement, les lettres aqueuses se formèrent en harmonie pour créer un mot,
puis le fin jet replongea dans l'aquarium,
formant une boucle de liquide dans laquelle des yeux avisés pourraient distinguer un mot.

«Bonjour.»

La surface de l'eau commença à s'agiter et Ritsu fit un autre rapide pas en arrière pour ne pas être atteinte par d'infimes gouttelettes. Elle ne put se départir de sa grimace et s'ébroua par reflexe au cas où elle n'avait pas été assez rapide, ce qui évidemment n'était pas le cas. D'un air anormalement craintif, mais curieux, elle fixa le léger filament d'eau s'agiter dans les airs avec une souplesse que seule la fille-chat pouvait imiter, et encore.
Puis, son regard capta une image dans ce mouvement, un symbole que peut de gens aurait pu appercevoir. Un mot.
Son cerveau se mit au travail, tâchant de lire ce qui était écrit malgré ses facultés limités en la matière. Apprendre à lire avait été quelque chose de trop hardu et ennuyant pour la jeune fille, mais elle avait comprit le minimum. C'est ainsi qu'elle saisit la signification de ce message.
Ses oreilles se dressèrent et un sourire enfantin brilla au lèvre de la gamine. Elle sautilla sur place et s'approcha en étant ravie de voir un jet d'eau la saluer.
"Bonjour!!"
S'écria-t-elle en faisant un geste de bras plutôt exagérément extravaguant puisqu'elle s'adressait tout de même à un aquarium vide. Toutefois, que ce soit un objet ou un humain qui s'adressait à elle, Ritsu se disait qu'un devait toujours répondre de manière enjoué à quelqu'un qui lui adressait poliment la parole. Puis, sa curiosité légendaire la poussa à ajouter d'une gaité peu commune:
"Qui es-tu?"

[Ce sujet est que trop vieu xD, je tiens a précisé qu'il date de l'été entre le secondaire 3 et 4]

Un filet d'eau s'élevait, formant un mot.

Bonjour.

Hideko regarda ce court message de la part de... l'aquarium.

Elle s'apprêtait à tourner les talons pour se remettre à la recherche de Subaru quand Ritsu répondit.

Pourquoi répondre à un objet?

... Ledit objet avait pourtant commencé la conversation.

Ritsu posa ensuite la question capitale.

Qui es-tu?

l'attention de la violoniste revint sur le filet d'eau.

Elle ne s'attendait pas à une réponses...

Mais ça ne l'empêchait pas d’espérer, juste un peu.

Elle s'approcha de Ritsu, le violon en main, prête a réagir si ce.. jet d'eau faisait mine d'être agressif.

Élève Nombre de messages : 23 Date d'inscription : 19/01/2010

À en croire ton expression, tu approuvais l'enthousiasme de la jeune.
Pour le lui déclarer, au lieu d'une déclaration enflammée;
Un ballet aquatique frivole agita la surface de ton élément.
Quand ton voile bleu se calma, tu écrivis de nouveau pour répondre à sa question.

«Aide.»

Le mot sembla hésiter un instant,
comme si tu le trouvais inapproprié.
Il s'effaça; de toute façon tu avais autre chose à dire.

«Allié», te corrigeas-tu. «Le cherches-tu?»

Les frivoles mouvement de l'eau firent reculer juste un peu plus la fille chat qui, malgré sa joie d'avoir fait la connaissance de cet objet qui était tout de même bien sympathique, voulait éviter à tout coup de prendre un bain, aussi bref celui-ci pourrait être. Quand elle vit le mots aide, elle fronça les sourcils. Était-il en train de dire qu'il avait besoin d'aide ou qu'il était là pour leur venir en aide? C'était plutôt ambiguë.

Alors que le nouveau mots s'écrivit dans les airs, Ritsu comprit finalement le sens et son éternel sourire réapparu alors que ses yeux s'étirèrent et rétrécir quelque peu (eyesmile ok?). Puis, une autre phrase se matérialisa et son excitation, qui aurait pu être le maximum pour certain, doubla et elle se mit à sauter sur place en applaudissant rapidement et plutôt faiblement.

«Oui!!!! Tu sais où est Subaru??»

-Et Pourquoi devrions-nous te faire confiance?-

Élève Nombre de messages : 23 Date d'inscription : 19/01/2010

Il serait bon le temps;
Si seulement tu savais.
Un instant ton visage perça le voile translucide de l'eau, flou et illusoire.
Et déçu.

«Non.»

Mais tu devais retenir leur attention, pour cette jeune fille.
Par égard pour son amour;
Qui ressemblait au tien et celui de la petite flamme.

«Mais je sais qui.»

L'autre te provoquait, tu t'amusas.
Avec une touche d'insouciance insaisissable,
Tu te gardas de son arrogance.
À l'image de l'eau.

[L'eau parle ou "écrit"? Je prends comme s'il écrivait...]

Un visage presque invisible se forma dans l'eau, un visage qui n'échappa pas à la gamine surdouée, mais il était trop flou pour qu'elle en discerne clairement les contours. Elle attendit donc impatiemment la réponse de cette aquarium, mais elle fut en déçue.
Non.
Non?
Ritsu baissa piteusement les oreilles. Comment pouvait-il dire qu'il était un allié alors qu'il ne pouvait pas lui montrer l'endroit où était retenu le Sumeragi. Elle voulu envoyé a cet stupide une insulte bien méritée! être ignorant de la sorte et donné espoir a de pauvres chercheuses courageuses était inconcevable! Toutefois, le mouvement du liquide forma d'autres lettres, d'autres mots.
L'espir revint, manqua de doubler.
«Qui....Tu sais qui a fait ça à Subaruchounet?»
Le surnom était sortit tout seul. C'était sans importance, on comprenait tout de même de qui elle parlait. Parlant naturellement vite, elle pouvait se permettre d'allonger des mots puisque le temps de diction resterait que pour une personne qui disait la moitié de ses phrases.

Élève Nombre de messages : 23 Date d'inscription : 19/01/2010

Et comment.
Frères que vous étiez, frères et soeurs,
Témoins du même sort.
Une esquisse de tristesse dessina ta réponse alors que tu pleurais ta plus jeune.

«Les doyens et les livres...»

Tu étiras le temps pris à tracer ton H, car tu voulais qu'elle le remarque. Elle le devait.

«... retiennent l'Histoire.»

Et soudainement, dans un grand fracas, l'eau toute entière de l'aquarium se rassembla sur elle-même.
Forma la lettre I.
Car vous étiez ceux que l'Histoire a oubliée.

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