[Quête n°1 - Seconde partie]Au nom de la mort

Une fois.
Juste cette fois... désires-tu goûter la mort?

La peau claire de sa main caresse une vitrine. Le cadavre de l'une de ses victimes y est exposé. La dernière fois, elle les a envoyée à l'abattoir. Toutes les trois. Les lèvres qu'elle a fines et sensuelles s'étirent en ce sourire si triste et si plein de cette mélancolie sans regret. Elle n'a pas le droit d'intervenir.

- Les filles, commença-t-elle sans daigner se retourner.

Elle les sentaient, les trois cibles qui entremêlait leurs énergies dans le cadre de porte du musée. De quelques phrases polies la sorcière recommanda la défunte à quelques forces de sa connaissance qui la guiderait bien et lui présenta ses ultimes condoléances. Elle savait déjà ce qui se tramait et n'avait pas besoin de plus d'informations même ce n'était sûrement pas ainsi que les trois innocentes verraient les choses. Sauf que personne ne pouvait être mêlé à cette histoire, sous peine de mort. Une malédiction, puissante, qu'elle n'avait pas le pouvoir, pas l'autorisation, de condamner. Sur cet adieu, la magicienne se mit à marché en direction opposée de l'entrée et s'arrêta après quelques pas.

- Avez-vous compris?

Leur demanda-t-elle en taisant la suite par habitude. L'être humain était la créature la plus étrange de ce monde, mais si la réaction pouvait être centaine, l'analyse et le raisonnement ne serait qu'un parce que l'homme était ainsi. Les mots sont réconfort, passion et armes. Il était inutile d'ajouter un sempiternel «de quoi il est capable». Ses iris de feu caressèrent les nombreuses statues et nombreux tableaux, autres, sans les voir, tous ses sens tendus vers la réception. Les coïncidences n'existait pas. Tout était inéluctable. Pour cela, ces enfants...

Ippen.
Ippen... shinde miru?

[Huum, disons qu'elle a eu le temps d'aller faire un leger tour à l'infirmerie. 15 minutes après ou quelque jours? aucune idée.... essayons d'adapter le texte pour que ça fonctionne au deux =D]

La sorcière des dimensions, elle est vraiment impressionnante. Son aura est si...indescriptible, un mélange distinct et unis en même temps... elle dégage de la puissance et de la sagesse, un mélange si...puissant. Je serais bien en peine d'essayer de la décrire en me fiant au quelques information que j'ai.

Je finit par me concentrer sur le sens de ses mots, si j'ai compris? Quoi exactement? Que notre ennemi est un tueur sadique très dangeureux? Je le savais bien avant de commencer cette... enquête. Que même la sorcière des dimension ne peut intervenir alors qu'elle est supposément la plus puissante ici? Que nous sommes isolées dans cette affaire et que personne ne peut nous aider? autres chose que j'ai aussi compris? que je n'ai pas compris? J'es pere qu'elle va nous expliquer

je balançai un peu mon poid d'une jambe à l'autre pour tester le travail des infirmière, elles ont fait un vrais petit miracle. C'est à peine si je ressent une petite douleur quand je m'appuis sur ma jambe ou sers le poing. Nous n'avons même pas réussit à l'effleurer alors qu'il a moyennement gravement blessé deux d'entre nous.

Je commence à douter de nos chance de survis.

[Bon j'avais oublié le numéro de l'enquête et je n'ai pas tout saisie du texte. Bon ça commence bien.]

«Avez-vous compris?»

Ces mots laissait perplexe Shirasuki. Elle ignorait comment elle s'était fait embarqué dans cette histoire, comment la fille était morte, comment elles avaient pu survivre, comment elles allaient s'en sortir...

Elle aperçut Mekura qui avait retrouvé l'état initial de sa jambe, anciennenement si mutilée par la cire.

La cire... L'élément clé de cet événement passé.

Elle repensa ensuite aux dernier mots de l'étrange femme.

«Les seules choses que j'ai réellement comprises c'était que je suis loin de savoir ce qui se passe réellement et que notre intervention, notre rencontre, notre personne en tant que telles n'est pas liées au hasard... Le tueur nous avait sûrement déja ciblées auparavant. Il a sûrement dût aussi nous espionner, nous étudier...»

Perdues dans ces pensée elle en oublia presque Mekura et Hitori qui était avec elle dans la salle, ainsi que le nouveau cadavre dans la vitrine. Elle eut d'abord le réflxe d'aller l'étudier, mais se demanda s'il était plus sage de se renseigner sur l'état de ses amies. Puis soudain les mots de son instructeur à l'orphelinat:

«Le plus importants dans les enquêtes sont les preuves. Si, elles devaient être effacées ou perdues, la justice ne sera jamais aussi loin de nous. Cependant, si les membres de votre équipes devaient êtres perdus...Votre raison ne sera jamais aussi loin de vous...»

Elle décida alors de s'assurer de l'état de santé d'Hitori.

Par contre, elle fit quand même un petit détour vers le cadavre. Elle était comme l'autre morte sereinement selon son visage. Aucune trace de mort visible sur son corps, mais elle se doutait bien que cette poupée mentait sur le véritable événement qui avait mit fin à sa vie. Elle se concentra ensuite. Pas de son de respiration. Alors la victime serait véritablement décédée cette fois. Elle regarda aussi aux pieds de la victime. Encore cette mystérieuse poudre blanche...

Elle se posa finalement devant Hitori et Mekura.

«Vous vous êtes remises de notre dernière enquête? dit-elle sur un ton doux»

[Petit post pour dire que j,ai pas evie que cette quête meurt... Hitori! Mekura!]

[Meeeh, c'est à Hitori de réponnndre T.T]

Avoir compris?
Il y a tant de chose à comprendre qui sont toujours ignorés. Il y a trop de détails importants faciles à oubliés. Que doit-on négligé et que doit-on conservé? Certain gens comprenait davantage les énigmes et remaquait rapidement ce qui était crucial. Ce n'était pas le cas de Hitori.
Tout les mots, toutes les scènes, tout les sons, elle était incapable de se les remémorer rapidement. Avoir comprit quelque chose... elle avait sans doute oublié quelque chose de prémordiale pour ne pas saisir un simple mot de cette femme.
Elle n'avait jamais entendu parlé de cette personnalité, mais sa puissanve sautait au yeux. Le respect était exigé, le silence de la jeune ange en était la cause. Elle hocha tout simplement la tête pour répondre à Shirasuki. Sa blessure était guérit, mais elle aurait pu mourir durant cet évènement.
Puis, Hitori baissa la tête et se contenta de réfléchir, esseyant le moins possible d'appercevoir le cadavre qui la repoussa et l'effrayait à la fois. Un tueur était dans le pensionnat, un tueur sadique qui cirait ses victimes avant de les tuer. Es-ce sa seule façon de procéder ou torturait-il de diverses façon? Es-ce cela la clé?

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