Foutu règles des sexe!

[Je me tape l'incruste!]

- Des travaux?

La voix provenait en réalité de la fenêtre désormais ouverte. Une femme adulte se glissa à l'intérieur par celle-ci et surgit donc dans le dortoir des filles. Son regard rougeâtre se plongea un instant dans celui de Aijou. S'écoulèrent des années dans son esprit, son pouvoir refluant doucement ici et là jusqu'à ce qu'elle ne détourne les yeux.

- Si ces jeunes filles ont cru avoir à faire à un garçon, je ne vois pas pourquoi la sanction serait de mise.

C'est moi ou sa fait pas mal pour un simple cas de perver qui pourrait être une fille? La vie ic doit être bien tranquille... Pour que toutce monde sois ici pour ça... Je rougissait encore plus mais gardai toujours le silence. La suite pourrait devenir... intéréssante. Nous verrons bien.

"Ah pitié"

Marmonna Ritsu en levant les yeux au ciel avant de s'asseoir lamentablement sur le lit derrière elle qui était en fait le sien. Les règlements, les travaux, les punitions, tout cela lui était que trop familier et elle en avait par dessus la tête.

En fait, elle était sûr qu'être dans un pensionnat sous-marin mettait plus de liberté âux pensionnaires. Elle avait sans doute eut tort, mais la jeune fille-chat ne se laisserais jamais avoir comme ça; trop rebelle pour être contrôler d'où viennet ses mutiples surnom tel que l'indomptable ou wild cat.

Dès que la femme entra par la fenêtre, elle se calma un peu, intriqué par cette personne qui avait une telle classe. C'est ses paroles qui la fit réagir; donc elles avaient affaires à une fille! Étrange!

«Ce n'est pas le fait qu'elles se sont trompé sur son sexe, mais plutot leur agissement envers cette innocente âme, adressa-t-elle à l'intention de Yuko.

Un monde sans règle ne mènera qu'à l'anarchie. Bien que nous sommes dans un pensionnat assez libres, des règles de base sont de mise si l'on veut qu'il puisse perdurer durant des années. Et comme toutes société le non respect de ces règles sont sévèrement puni.

Alors retirer vos paroles jeune filles et présenté vos excuse maintenant si vous ne voulez rien écoper.»

Himiko avait toujours été comme ça, dirigeante de deux grand peuple elle se devait d'être intimidante, froide et sévère.

[Comme Byakuya de Bleach]

Une punition... Je ne veux pas d'ennemi dans le pensionnat en partant. Je me mettai donc à rougir et lançai toujours de ma petite voie timide [De gars]

-Mais non ce n'est pas nécessaire de les punir. C'est vrai que c'est plutôt suspect d'écrire des renseignement sur un personne dans un cahier. Mais j'ai vraiment un mauvaise mémoire.-

La bonne vieille excuse de la mauvaise mémoire. Personne ne pourra me démentir ici puisque personne ne me connnait. Le genre d'excuse passe-partout quoi.

- Quelle jeune fille sensée ne traiterait pas le premier garçon qui lui tombe sous la main de pervers?

Répliqua Yûko dont le regard se fixa sur cette personne dont la mémoire était si mauvaise. Elle l'observa en coup de vent avant d'émettre un grand sourire joyeux qui lui convenait sans lui convenir.

- Dans ce cas elles seront toutes deux mes esclaves personnelles!

Chantonna la sorcière d'extrême-orient.

«QUOI ?!?»

L'étonnation et le scandale de la jeune fille-chat mirent fin au silence qui s'éteint installer depuis quelque secondes. Esclave personnelle? Que voulait-elle dire par là? Si c'est ce à quoi Ritsu pensait, c'était bien terrible!! Certains souvenirs d'un évènement plutôt lointain refirent surface, mais elle s'efforça de les envoyer de nouveau dans un coin de sa tête comme à son habitude. Cette femme était peut-être étrange limite effrayante, ce n'est pas ça qui allait arrêter l'énergique gamine.

«Je ne serais jamais plus esclave de qui que ce soit!»

S'ecria-t-elle encroisant les bras et en défiant la femme du regard. Elle était libre à présent, elle ça allait le rester!

Hokuto ouvrit des yeux ronds. Servir la sorcière des dimensions pouvait être considérer comme un grand honneur, mais sa réputation d'esclavagiste avait quelque chose d'effrayant. Elle en savait quelque chose : c'était l'un des avantages qu'offrait le statut d'experte en communication. Son réseau s'étendait et elle avait des espions postés aux quatre coins du Japon.

- Si nous nous en tenions aux travaux pratiques? -

Himiko réfléchit un peu...l'esclavage pourrait être néfaste, mais il fallait punir ces deux filles.

«Bon j'ai décider, vous servirez cette dame pendant une semaine, mais ce n'est pas de l'esclavagisme pensez plutôt à des traveaux pratique pour vos pouvoirs.»

Ensuite, elle se retourna vers la fille aux lunette de soleil.

«Et toi, tu ferait mieux d'agir d'une meilleur façon si tu ne veux pas d'ennui non plus.»

elle se retourna vers Yuko, autant la stature et le charisme qui émanait de cette femme était imposant, plus elle avait peur. Elle avait déjà entendu des rumeurs à son propos, bien qu'elle ne l'avait jamais vue auparavant, cette énergie ne pouvait qu'appartenir à une sorcière puissante.

«Mais punisser les juste assez par contre, je ne tolérai pas non plus des excès, et je vous averti que ma colère pourrait être terrible.»

Esclave personnelle, drôle de sentence, en plus ça se tranforme en travaux pratique. Je dois me préparer à un changement très radical par rapport à l'agence. Le seul problème de tout ça, c'est que ma couverture est complètement fichue.

Et si je les surprenais un peu? Un changement total de caractère, voilà qui devrait tourné la situation un peu plus à mon avantage. Bien qu'il soit impossible que la situation se déteriore plus qu'elle ne l'est déja.... J'adoptai ma voie de fille avec un ton sur et un peu négligent voir arrogant et changeai de position pour une plus à l'aise en m'accotant négligeament sur le mur, les mains derrière la tête.

-Pfff, les adultes ne sont pas vraiment discrets ici. Bonjour le manque de confidencialité en plus. si le directeur s'amuse à donner ma fiche d'identité à n'importe qui... Le mot vie privé n'a pas l'air très important ici.

Je pris ensuite un ton beaucoup plus doux pour la suite. Je ne veux pas non plus qu'elles pensent que je suis unesorte de fille des rues quoi que ce ne serait pas plus mal que ça....

Je me présente à nouveau. Je suis Aijou Haeru, 13 ans. Enchantée de vous rencontré.

Je vous prierais de garder le secret. Sinon, certaines conséquences pourraient en découler. Je ne voudrais vraiment pas utiliser mes potions de mustisme. Seulement, parfois ma main est si lourde que le facon glisse tout seul, auquel cas je vous demande de me pardonner.

J'enlevai d'un geste ma perruque et mes lunette pour fixer ensuite le mur face à moi.

Contre deux adultes, l'exorciste n'avait d'autre choix que de s'incliner ce qui était très loin de lui plaire. Elle n'était pas une esclave de son état et de surcroît, elle n'avait rien fait de mal. Aijou avait quand même voulu voler une partie de sa vie privée et en plus, elle s'était moquée de son sens de l'observation! Mais la sentence était tombée. Au secours, elle n'osait même pas regarder Yûko tellement le châtiment lui paraissait cruel et sans pitié! Ben... oui, elle, Hokuto Sumeragi, pouvait être terrifiée par quelqu'un même si ce n,était pas autant de Yûko qu'elle avait peur que du châtiment. Elle arqua d'ailleurs un sourcil devant la nouvelle arrogance de Aijou et l'observa en se composant un visage neutre pour le reste de son discours, visage qui finit par se fendre en un sourire.

- Je reste Sumeragi Hokuto, du clan Sumeragi, toujours 16 ans! -

Si ces adultes allaient croire que la jeune Ritsu se soumettrait aussi rapidement, ils se trompaient complètement. Elles ne voulaient pas travailler, elle ne le voulait plus. C'était fini!

Ces pouvoirs étaient assez puissants, non elle ne voulait pas être plus forte. La force fait peur, la force est différente. Elle ne voulait plus être différente. C'était fini!

FINI!

Elle battait l'air de sa queue féline et ses oreilles de plaquèrent sur son crâne. Un semblant de feulement se fit attendre. Elle n'avait jamais écouter, et ça ne commencera pas. Jamais!

Elle était dite indomptable, elle avait été redouté pour cela. Elle avait tuer pour cela. Elle fesait peur aux passants, elle fesait pleurer les enfants. Pourtant, elle n'a pas voulu changer. Elle ne voulait pas devenir quelqu'un d'autre.

JAMAIS!

Elle fixa la fille qui avait retirer sa perruque, c'était à cause d'elle? Non! Si il y a une chose que Ritsu ne permettait, c'était de mettre la faute sur les autres. Il n'y avait qu'une reponsable. Elle!

Son regard passant ensuite sur les deux femmes. Elle se durcit davantage. Elle voulait être libre, c'est pour ça qu'elle était rester dans cet endroit même après le temps qui passe. Elles devaient comprendre qu'elle ne ferait rien. Et la seule personne pouvant lui faire entendre raison c'était ELLE!

«J'ai dit que je ne ferais rien!»

S'écria la gamine en croisant les bras et en tappant du pied. C'était direct comme à son habitude. Direct et étrangement glacial. Elle ne le dirait pas une fois de plus.

Elle ne voulait pas aider, elle ne voulait pas être punie. Elle n'avait pas fait grand chose. Tant de choses terribles elle avait fait et jamais elle n'avait été puni. Ritsu secoua la tête, non elle ne repensera pas à cela. Elle avait déjà parler de son passé à quelqu'un. Elle ne le dirait pas une fois de plus!

Himiko fut un peu surprise de la métamorphose soudaine d'Aiou. Mais elle restait choquée tout de même de la réaction de celle-ci et de Ritsu.

«Sache que je fais partie du membre du personnel. Donc, avoir la liste des penssionnaire est tout à fait normal, dit-elle sur un ton sérieux. De toute façon vous n'êtes pas totalement libre ici. Vous avez des règles à suivre et vous devez les respecter.»

Ce dernier passage s'adressait évidement à la fille chat. Soit elle n'avait jamais été punie auparavant soit elle avait eu un traumatisme.

Pour ce qui était d'Aijou, son cran était tout de même impressionnant. Avouer toute la vérité à ce moment était une bonne preuve d'honnêteté et d'humilité, mais elle continuait de rejeter la faute sur les autres.

«Décidément, je crois qu'il n'y a pas assez d'adultes ici, soupira-t-elle.»

en effet, elle n'aimait pas jouer les reine sans coeur, mais si elle voulait être écouter, elle n'avait pas d'autre choix.

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