Une passion...depuis très longtemps

«Tu as déja commis des crimes. Dans quels genre? Ne t'inquiète pas je ne te jugerai pas.»

Après tout ses crimes ne devais pas être plus pire que les siens... et qui puis est, il voulait vraiment en connaitre le plus sur elle. Une aijin seule, qui cache ses émotions à travers une unique expression, elle lui faisait vraiment rapeller à quelqun...

Oui, elle lui faisait vraiment rappeller à elle. Cette petite fille... Il s'aproha d'elle et posa sa main sur son épaule en signe de soutient. Elle aussi faisait ça...Il la vit se retourner et il fit un de ces regard qui disait qu'elle pouvais se confier à lui sans regret et sans gêne.

il ferma les yeux et fit non d'un signe de tête. Pauvre petite, juste à voir son expression on aurait dit qu'elle avait connu mille souffrance. Un peu comme lui, mais Arisato les avait causé ces souffrance. Il les avait aussi contempler ces souffrances.

Il pris la main de la petite aijin pour la forcer à lui faire face. Ensuite, il plongea longuement ses yeux dans les siens, apres avoir retirer ses écouteurs au volume si fort. Pour attaraper toutes les paroles qu'elle allait dire...

Arisato continua de rester muet. Ces dans ces moment que le silence est le plus important. Elle avait l'air d'en souffrir, souffrir de la différence et la peur qu'elle avait surement provoqué autour d'elle.

Pourtnt, il fit un signe d'empathie avec sa têt. PLus précisément, il ferma ses yeux et baissa sa tête. Ensuite il lui fit un regard disant qu'elle n'était pas la seule a avoir souffert de sa différence.

Ensuite, il l'invita avec sa main de poursuivre son récit.

Il ferma les yeux.

«Oui, je les connais.»

Mais il n'en voulut pas en dire plus de peur que son secret se dévoile. Elle le frapperait sûrement et perdrait sa confiance, si elle savait que c'était de lui tout ça. Juste pour le désennuyer.

«Je les connais mieux que tu ne le crois.»

Ritsu avait l'air d'avoir de la difficulté à continuer. Son sourire éternel était sur le point de s'envoler. Allait-elle craquer? Il soupira et dit:

«Si tu es capable d'aller jusqu'au bout, je pourrait te dire certain trucs moi aussi.»

Évidement, il ne dirait rien de très important. Il ajouta aussi pour l'inciter à parler:

«Parfois le silence est d'or, mais parfois l'or n'est pas très commode et il faut s'en débarasser afin de continuer à avancer.»

Au début son sourire sembla forcer, puis soulagé après avoir tout déballer. C'en était assez pour elle, pour aujourd'hui. Il ferma les yeux, expira fortement, mais pas comme un soupir. Il savait qu'elle était libéré de son silence, mais maintenant c'était à son tour de subir un interrogatoire.

«Retour à la case départ, se dit-il.»

Il se retourna et se mit sur un tapis roulant.

Quand il reposa ses yeux sur Ritsu, il fit un ragard sévère.

Arisato détourna son regard. il avait la mine grave. Son passé...

Si Ritsu savait toute son histoire, elle le détesterait sûrement, et ici c'était l'une des rares personnes qui l'appréciait malgré son sang maudit.

Que devait-il faire? Après tout, il l'avait forcer à révéler son passé, maintenant c'était à son tour de passer au confessional, même si ses péchés ne pouvaient tout simplement pas être pardonner.

il débarqua de son tapis roulant, vint vers la jeune fille et lui posa un regard sérieux.

par où commencer?

Il mit ses mains dans ses poches, regara un peu le sol et puis la jeune fille chat. Qu'est-ce qui pouvait être dit et que'est ce qui ne le pouvait pas? Il réfléchit longement à la question.

«Mes parents sont des pêcheur, l'un grand guerrier et l'autre démon. Ma mère avait du plaisir à tourmenter mon père par sa beauté, ou plutôt ses multiple apparence. Par contre, un jour, mon père chassa cette kitsune et la maudit de se faire pourchasser par les anges du paradis pour avoir jouer avec un homme de bonté, mais la menace ne se fut pas car lui non plus n'était pas muni d'une bonté. Dans le fond, leur sentiment était réciproque, les deux s'amusait avec l'autre.»

Il pris une grande respiration. Il souhaitait qu'en disant tout d'un coup il décourgerait la aijin d'en savoir plus.

«Quand je suis né, je n'était qu'avec ma mère. J'ai voyager les premières années de ma vie avec elle, de ville en ville et d'homme en homme. Ensuite, elle commença à me trouver très emcombrant, pas seulement parce que j'était un enfant à moitié humain et que j'avais encore de l'innocence. Non. C'était à cause de mon incapacité à faire quoique ce soit à part devenir marrionettetise, mais aussi car j'était et je suis un garçon. Mais elle a décidé de me laisser définitivement, quand elle tomba de nouveau enceite d'une fille cette fois-ci, d'un yokai ils me semble. Alors, à la fin elle m'a retourner chez mon père. Seul.»


Le reste il le dit d'une manière si rapide et si résumé que peu de gens aurait tout saisi le contenu.

«À partir de là tu le sais, mon père me trouva aussi inutile que ma mère et me confia à un moine taoiste, pour faire mon éducation. Ensuite je suis parti au loin, dans un village, j'ai étendu mon influence, j'ai rencontrer l'amour,elle est morte et puis me voilà!.»


Tout ce qui pouvais être dit fut dit, et juste assez pour éloigner la curiosité de Ritsu, il espérait. Il ne crut jamais qu'il dut autant parler par contre.

Des questions, il s'y attendais. Il y érpondit même s'il trouvait les réponse assez évidente en faisant deux signe de tête.

Ensuite il se tut. Il avait fini. Il ne dirait plus rien. Elle n'avait pas besoin de savoir toute les atrocité de sa vie en détail. Par contre, pour être sur qu'elle se tairait, il se dirigea vers la sortie.

Il n'avait rien fait?

«Si justement, répondit-il simplement.»

Pourquoi sourire alors que tout était de sa faute. Des millier de vie ont été détruite à cause de ce compllexe d'infériorité. Il voulait s'en aller. Bien évidemment il ne pleurait pas mais, au plus profond de lui, il y avait cette douleur. Cette affreuse boule sur son coeur. Tant de gens l'avait hait et maudit, et il comprenait, c'était dans leur droit.

Il posa ensuite ecore son regard sur Ritsu. Son petit sourire commençait à l'énerver. Fuir n'était pas courageux, c'était un signe de faiblesse. Lui au moins il affrontait ses démon directement, il n'essayait pas de les effacer.

il mit sa main sur ses yeux, il en avait assez, toutes les image de son histoire lui revint en tête.

«Laisse moi passer veux-tu bien?»

Il avait mal, c'était vrai. C'était pour cette raison qu'il voulait partir. POurquoi l'en empêchait -elle? Elle avait raison de lui en vouloir, il l'avait forcer à lui raconté le coté sombre de son existence, mais lui c'était une autre histoire...

POuvait-on pardonner à un homme faible, qui a voulut tuer tout ceux qui le considérait comme tel? Celui qui a causé la mort de ses êtres chers? Qui a organisé un groupe qui s'amusait à torturer les gens. À une personne qui avait arraché la vie à sa bien aimé?

Non...Personne ne le ferait...pas même cette innocente adolescente.

Il plongea ses yeux clairs dans ceux de Ritsu, il lui fit rapeller à...non il devait garder tout cela secret.

Il dit finalement d'un ton très froid.

«Ritsu laisse moi partir tu entends?»

Ne pas passer une bonne nuit. Ah! quelle étranage conceptio. Cela faisait des année qu'il ne rêvait plus à de bonne choses, le poids de ses péchés l'étouffait, le faisait tomber dans le vide. À quoi bon continuer on aurait dit qu'elle n'allait pas se pousser de la bientôt. Il eut l'idée de la pousser, mais le ton faible de sa voix l'en empêcha, elle aussi elle souffrait, énormément même.

«Ce ne serait pas la première fois Ritsu...»

Il se tut un moment.

«Tu me dis que mes problèmes me tourmenteront cette nuit, mais toi? Tu souffre aussi non? Alors pourquoi s'attarder alors que tout pourrait-être fini si tu me laissait finalement passer.»


Il attendit un moment. Toujours rien. Il décida en fin de copte d'aller s'asseoir sur l'une des machine, les bras croisées contre sa poitrine, le regard détourné de celui de la jeune adolescente, fixant le néant, perdu dans ses souvenirs.

Une nuit...c'était pendant une nuit où tout avait commencer...